DFCO 0-3 Sochaux : poteaux et chaos

Les traditions sont faites pour être respectées ! Comme à chaque fois depuis la descente de Dijon en Ligue 2 en 2021, le FC Sochaux-Montbéliard a réussi à s’imposer sur la pelouse du DFCO en célébrant avec un public visiteur nombreux. Gâchant au passage la fin d’année d’une équipe qui allait pourtant mieux et qui a joué de malchance à plusieurs reprises.

Le DFCO a paru brouillon mais a créé plus d'occasions que son adversaire, sans parvenir à trouver un but.

LE MATCH

Dijon FCO – FC Sochaux-Montbéliard : 0-3 (0-1)

Au parc des sports Gaston-Gérard (Dijon), vendredi 15 décembre, coup d’envoi à 19h30.

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Buts : Daho (9e), Fatar (81e) et Michel (89e) pour le FCSM.

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Avertissements : Chahid (63e) pour le DFCO / Viltard (44e) pour le FCSM.

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  • 6e : Walid Nassi est servi dans la surface par un centre tendu de Schur, sa reprise du plat du pied passe largement à côté.
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  • 9e : après deux frappes sochaliennes contrées pour un corner, Alex Daho s’infiltre dans la surface côté droit le long de la ligne de but. Personne ne parvient à stopper le Sochalien qui marque dans un angle plus que fermé (0-1).
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  • 11e : réaction avec une frappe de Nassi dans la même position que sur son but à QRM, la tentative est contrée.
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  • 17e : le tacle debout de Soumaré envoie le ballon en direction des cages, il ne passe qu’à quelques centimètres du poteau.
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  • 18e : Diego Michel force Robin Risser à la parade sur une lourde frappe à mi-distance qui a surpris tout le monde sauf le portier Dijonnais.
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  • 19e : les visiteurs se rapprochent à nouveau des buts du DFCO, heureusement Moco bloque la frappe de son vis à vis.
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  • 20e : Risser du poing, puis Soumaré avec son corps éloignent successivement un danger bien présent dans la surface des Rouges, qui sont dominés pour le moment au nombre d’occasions.
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  • 34e : après un long moment sans opportunité, Dijon s’en procure une énorme avec une interception haute permise par Fdaouch et le relais de Soumaré en direction de Nassi, dont la frappe du droit heurte le poteau de Patouillet.
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  • 37e : lancé à pleine vitesse par Soumaré, Walid Nassi n’a pas la lucidité pour cadrer sur sa frappe croisée mal maîtrisée.
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  • 42e : sur une accélération, Viltard prend de l’avance sur Chahid dans l’axe et frappe à 20 mètres, c’est manqué.
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  • 45e : coup franc parfaitement botté par Bryan Soumaré, qu’Arnold Temanfo détourne sur le poteau de la tête, à l’apogée de sa détente !
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  • 49e : longue passe précise dans la profondeur de Soumaré vers l’aile où Fdaouch temporise pour laisser Makutungu déborder, son tir n’est pas cadré.
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  • 52e : le coup franc excentré de Soumaré est très bien placé mais manque un peu de puissance pour inquiéter le gardien.
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  • 53e : combinaison Nassi-Fdaouch pour l’ailier gauche qui hérite du ballon dans la surface mais tope un peu son tir.
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  • 55e : il y a le feu dans la surface dijonnaise sur un corner mal défendu, heureusement Risser voit l’arbitre siffler pour une faute de Vitelli.
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  • 56e : sur un coup de pied de coin à l’opposé, Rayan Souici tente de lober le gardien d’une tête en pivot surprenante, sans succès.
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  • 59e : un penalty manifeste est oublié pour une faute sur Fdaouch le long de la ligne de but. Le public exprime sa colère.
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  • 64e : Zakaria Fdaouch ne se laisse pas décourager et crée une nouvelle situation dans son couloir en remportant un duel physique, la défense sochalienne contre – non sans peine – en corner.
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  • 65e : dans la foulée du coup de pied arrêté, Walid Nassi profite d’un contre favorable, son tir franchit la forêt de jambes mais est stoppé par le poteau, encore.
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  • 66e : nouveau corner qui aboutit à un tir pour le FCSM cette fois-ci, c’est contré par la défense dijonnaise.
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  • 74e : encore aux manettes, Soumaré donne de l’espace à Moco pour ajuster un centre fort qui est dévié en une touche par Souici, hors cadre.
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  • 76e : un côté droit dynamisé par l’entrée d’Irié voit Moco buter une nouvelle fois sur un jaune, qui manque de peu de marquer contre son camp.
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  • 77e : centre-tir de Soumaré, à nouveau bloqué par Vitelli avec maladresse.
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  • 81e : complètement contre le cours du jeu, Noah Fatar vient planter le deuxième but, malheureusement trop esseulé dans la surface de réparation sur un centre en retrait. Une action d’école (0-2), mais Dijon était à dix de manière incompréhensible…
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  • 86e : Sochaux a éteint les velléités offensives du DFCO, un centre de Fatar trouve Macalou dont la reprise est complètement manquée.
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  • 89e : ultime coup de poignard pour Dijon, qui a fait monter tout le monde. Pressé (et poussé assez grossièrement), Souleymane Cissé perd le ballon dans une zone interdite et Diego Michel vient fixer le gardien pour un très rude 0-3, score sur lequel se termine la partie.
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Des torts partagés, un effort collectif gâché

Trois poteaux touchés par les Dijonnais (Nassi x2, Temanfo), un penalty qui aurait peut-être été accordé dans d’autres circonstances et en face, un réalisme glacial qui a fait la différence en plus d’une capacité à accélérer et à protéger le ballon de la part des milieux sochaliens qui a mis à mal notre entrejeu : les étoiles étaient alignées pour un succès des visiteurs, qui ne se sont pas fait prier sur les quelques rares erreurs individuelles de notre équipe. Celle de Chahid, le manque d’assurance de Risser ou les petites sautes de concentration de Cissé sur le 3e but, de Temanfo sur le 2e (pas du tout aidé par l’absence imprévue d’un milieu de terrain pour couvrir derrière lui…). Car c’est bien cet événement, ce but de Noah Fatar qui plonge le DFCO dans sa léthargie de fin de match alors que celui-ci avait l’entière maîtrise des débats et pouvait rêver d’une égalisation, voire mieux. Mais un mélange d’inattention et de handicap créé par la sortie non compensée de Rayan Souici a permis aux Sochaliens de tuer la rencontre à un moment crucial.

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Benoît Tavenot, plus qu’agacé par ce coup du sort dont son équipe n’avait certainement pas besoin, s’est exprimé en ces termes en conférence de presse: « Il y a un problème de chaussettes. Moi, ce que je n’ai pas compris c’est pourquoi, quand Rayan sort mais que Kader est empêché de rentrer, le jeu reprend ! Parce que mon joueur est sorti. Si mon joueur n’est pas sorti, ok, on annule le changement… mais là il est sorti et au moment où Kader doit entrer, l’arbitre de touche se rend compte que derrière le mollet il y a un trou. C’est la mode aussi… Alors avant on coupait les chausettes, il y a quelques années, maintenant la mode en Ligue 1 c’est de faire un trou derrière le mollet. C’est arrivé en National, que voulez-vous que je vous dise. Le juge de touche contrôle tout et quand il le fait avancer pour entrer il voit le trou dans la chaussette et dit que ce n’est pas possible ! Or moi, mon joueur, il est déjà dehors. Après, peut-être qu’on l’aurait pris à onze aussi… Quand rien ne va pour vous, rien ne va. Le fait est qu’on était à 10 contre 11 et c’est dur à avaler. »

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Le DFCO aura des leçons à tirer de sa mésaventure

Groggy tel un boxeur ayant été roué de coups aux visages sans pour autant avoir baissé les bras, Dijon se retrouve désormais dans une situation délicate. Certes, la défaite de Niort (1-2 contre Rouen), surtout conjuguée au retrait de points des Normands et aux matchs à rejouer de Villefranche, arrange bien le DFCO qui a malheureusement une différence de but particulière nettement défavorable contre cet adversaire-là. Nous ne sommes pas tout à fait à la mi-saison (surtout avec les matchs en retard à jouer) mais à ce stade, il faudrait pour l’instant que Dijon remonte six points – ou cinq en cas de victoire par quatre buts ou plus, contre les Chamois au retour, sans compter les efforts de Sochaux qui prend virtuellement 3+1 points d’avance en raison du goal average particulier largement à leur avantage.

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Outre la distance actuelle avec le deuxième, qui n’est pas forcément révélatrice des dynamiques de fin de saison, il faudra se poser les bonnes questions pour comprendre comment le FC Sochaux, qui a failli être rétrogradé en National 3 (au niveau de sa réserve) cet été et perdre son statut professionnel, a su prendre plus de points et être globablement plus convaincant et enthouasiasmant que Dijon avant Noël, sans préparation et avec un mercato précipité. Le tout avec un nombre de matchs presque identique. Si on ne peut pas reprocher grand chose aux joueurs ni au staff (en dehors de l’entrée étonnante de N’Chobi alors que Dijon était très supérieur sur la pelouse avec Souici) ce vendredi 15/12, il y a quand même une légère sensation de gâchis après ces 15 premiers matchs sur 34. Pour faire une analyse plus poussée, on attendra avec impatience la rencontre la rencontre à Martigues (qui vient de perdre à Marignane) en sortie de trêve, concurrent direct à l’accession, puis celle contre GOAL après Le Mans pour nous remettre sur un pied d’égalité avec la majorité des clubs autour de nous. Deux succès et Dijon n’aurait, au pire, que deux points de retard sur le deuxième. Deux défaites et ça sera plutôt vers le bas qu’il faudra lorgner…

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@No_Vak

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Dijon est 6e au classement général

LES NOTES

L’Homme du match : Cédric Makutungu (5,8)

Une première période honnête, une deuxième de haut niveau. Pendant près de 45 minutes, il a démontré qu’il pouvait être plus qu’un latéral à l’ancienne – solide défensivement mais sans grand allant offensif – tant son nombre de remontées de balle a été impressionnant. Si Fdaouch a pu réapparaître après la pause, il y est pour beaucoup. Sans faire de bruit, l’ancien d’Avranches est devenu incontournable à son poste.

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Risser (3,1) : match compliqué pour le portier dijonnais. Fautif sur l’ouverture du score, où il ne ferme pas son premier poteau, il ne s’est pas montré particulièrement brillant sur les deux autres réalisations sochaliennes, même si ces fois-là il est lâché par sa défense. Il avait regagné une grande sérénité au cours du mois de novembre. Tout semble à refaire.

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Moco (4,2) : symbole du manque d’intensité dijonnaise en première période, il a été régulièrement en difficulté sur le plan athlétique face à des Sochaliens à qui il n’a pourtant rien à envier a priori dans ce domaine. Mieux en deuxième période, jusqu’au dix dernières minutes où il a craqué avec le reste de l’arrière-garde. Assez peu convaincant également dans son apport offensif, bien que pas aidé par les nombreux mauvais choix de Schur. Mieux après les premiers changements.

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Cissé (5,1) : longtemps l’un des meilleurs Dijonnais sur la pelouse. Serein dans ses interventions, précis dans ses prises de balle, il n’a jamais paniqué face au pressing sochalien, bien que certaines de ses relances longues aient témoigné d’un peu trop de précipitation. Malheureusement fautif sur le 3e but, où il s’arrête de jouer pour réclamer une faute alors qu’il aurait fallu tout donner pour écarter le danger.

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Temanfo (4,8) : un match solide dans l’ensemble, bien que faisant preuve parfois d’un peu plus de fébrilité qu’à l’accoutumée, la faute peut-être à une forme physique pas optimale et à sa convalescence. Trop aspiré par le ballon sur le 2e but sochalien, il oublie totalement Fatar qui stoppe sa course dans son dos pour demander le centre en retrait. Vu son début de saison, on lui passera cette erreur.

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Chahid (3,2) : pris par Daho sur l’ouverture du score, plusieurs fois dépassé par les accélérations et les combinaisons sochaliennes dans l’entrejeu, il s’est battu mais a souvent paru à contre temps. Pas plus inspiré sur le plan offensif, avec peu de risques pris et des choix peu inspirés sur ses rares initiatives. Un match sans. Remplacé à la 67e par Etoga, qui a de suite apporté beaucoup plus de densité au milieu dijonnais, qui en avait cruellement besoin.

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Souici (4,3) : bon pendant les premières minutes, avec une participation intéressante au jeu offensif, il a ensuite disparu de la circulation pendant tout le premier acte, avant de revenir avec de meilleures intentions après la pause. Impliqué dans plusieurs bonnes situations dijonnaises, il a également élevé d’un cran son engagement physique, trop limité en première période. Dommage d’avoir dû attendre 45 minutes pour ça. Remplacé à la 82e par Nchobi, dont l’entrée retardée pour un problème résumé plus haut a laissé le DFCO à 10 sur le break sochalien. Sans commentaire, comme pour sa prestation après son apparition.

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Soumaré (4,3) : un match en dents de scie. Inexistant pendant la première demi-heure, il s’est un peu repris sur le dernier quart d’heure du premier acte et est revenu sur le même registre après la pause. Sur cette séquence, il a régulièrement été à la baguette des offensives dijonnaises, pour orienter et distribuer le jeu. Il s’est malheureusement peu à peu éteint au cours des dernières vingt minutes. Sans que son implication soit à remettre en cause, on a tout de même parfois le sentiment que, mentalement, il n’y est pas totalement.

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Schur (3) : lui qui s’était montré régulier depuis de nombreuses rencontres est cette fois passé à côté de son match. Il a eu énormément de déchet technique, a régulièrement fait les mauvais choix et a souvent paru en retard dans sa lecture du jeu, voire même un peu émoussé physiquement. A l’instar de Chahid, un match sans. Remplacé à la 71e par Irié, qui a immédiatement apporté plus de spontanéité et de vitesse mais qui a eu trop peu de temps pour s’exprimer avant que Sochaux ne fasse le break.

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Fdaouch (4,9) : une première mi-temps bien quelconque, où il est rarement parvenu à faire la différence. Bien mieux après la pause, le soutien de Makutungu lui a fait beaucoup de bien pour créer des décalages et se projeter vers l’avant. Il a toutefois manqué parfois de lucidité dans le dernier geste. À sa décharge, il ne peut pas toujours être le seul à être décisif.

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Nassi (4,1) : un match pas évident à un poste qu’il ne maîtrise pas réellement mais dont il s’est pour finir sorti avec les honneurs. Il s’est procuré beaucoup d’occasions mais n’est pas parvenu à scorer, la faute aux poteaux, au gardien adverse et à sa propre maladresse dans le dernier geste. Sorti avec des crampes, on ne pourra pas lui reprocher de ne pas s’être démené sur le front de l’attaque. Remplacé à la 71e par Ben Fredj, qui a proposé des choses différentes mais n’a, comme Irié, pas eu beaucoup le loisir de s’exprimer avant que le match ne bascule.

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@Gus21

NOTE MOYENNE : 4,3


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Le Micro Show 13 : digérer décembre

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